J’apprécie particulièrement La Question Philo de Charles Pépin sur France Inter, que j’écoute souvent en replay dans la semaine.
Les interventions qui m’interpellent sont le plus souvent celles dont la frontière entre psycho et philo est tenue. Celle du samedi 2 mars dernier m’a particulièrement intéressée : Peut-on réparer une fois adulte les carences affectives de son enfance ?
Avant même d’écouter la réponse, je me suis fait la réflexion que cette question était sans doute ce pourquoi inconsciemment ou consciemment, beaucoup de personnes entamait une thérapie.
Est-ce que nos parents ont été “suffisamment bons” comme parents pour nous permettre de trouver-créer des liens affectifs suffisamment sécurisant avec eux ? puis avec nous-même et enfin avec les autres ?
Prendre conscience de nos liens d’attachement et de nos relations avec nous-mêmes et avec les autres est au coeur des espaces art-thérapeutiques que je propose avec le tango et avec la photographie.
Je vous laisserais écouter la réponse que Charles Pépin donne à cette question https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/la-question-philo/la-question-philo-du-samedi-02-mars-2024-5989292
Quant à moi, je dirais que prendre soin de nos relations avec nous-même, de nos relations de couple, de nos liens familiaux, amicaux, professionnels … est peut-être déjà un pas vers la réparation de nos carences affectives.
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Je suis Valérie, art-thérapeute.
J’accompagne vers un mieux-être par le tango thérapeutique, la photographie thérapeutique et le yoga du rire ; et je propose un cercle de paroles destinées aux belles-mamans : Belle-doche & Co.